06/03/2021 : Absence et ordonnée d'Anaïs de Joachim Glaude
06-03-2021
Un roadtrip contemporain entre Bruxelles et SarajevoUn roadtrip contemporain entre Bruxelles et SarajevoUn roadtrip contemporain entre Bruxelles et SarajevoUn roadtrip contemporain entre Bruxelles et SarajevoUn roadtrip contemporain entre Bruxelles et SarajevoUn roadtrip contemporain entre Bruxelles et Sarajevo
Un roadtrip contemporain entre Bruxelles et Sarajevo
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Un roadtrip contemporain entre Bruxelles et Sarajevo
Février 1992, une guerre est sur le point de déchirer la Bosnie. Anaïs, 7 ans, est mise à l’abri et envoyée en Belgique. Février 2019, après 25 ans d’absence, Anaïs revient à Sarajevo. Dans cette ville, le père d’Anaïs livre ses souvenirs au micro d’une radio clandestine.
Dans le rôle d'anaïs : Mercedes Dassy et Anaé Blanc
Dans celui du père : Philippe Allard
La mère : Line Guellati
La voisine : Annette Gatta
Ismael : Thierry Hellin
Avec aussi les voix de Marc Weiss, Patrick Brül, Maarten Van den Bussche et Yasmina Favaro Musique originale : Anna Muchin
Écriture, réalisation, montage : Joachim Glaude
Prise de son : Pascale Schaer
Bruitage : Céline Bernard
Mixage : Jonathan Vanneste
Assistanat à la réalisation : Némo Camus
Accordéon : Joffrey Goart
Texte additionnel : Zladko Dizdarevitch
Musique additionnelle : Charlotte Adigéry
Production : Halolalune Avec le soutien du Fond d'aide à la création radiophonique de la fédération Wallonie-Bruxelles et de l'ACSR.
Dans le rôle d'anaïs : Mercedes Dassy et Anaé Blanc Dans celui du père : Philippe Allard La mère : Line Guellati La voisine : Annette Gatta Ismael : Thierry Hellin Avec aussi les voix de Marc Weiss, Patrick Brül, Maarten Van den Bussche et Yasmina Favaro Musique originale : Anna Muchin Écriture, réalisation, montage : Joachim Glaude Prise de son : Pascale Schaer Bruitage : Céline Bernard Mixage : Jonathan Vanneste Assistanat à la réalisation : Némo Camus Accordéon : Joffrey Goart Texte additionnel : Zladko Dizdarevitch Musique additionnelle : Charlotte Adigéry
Dans le rôle d'anaïs : Mercedes Dassy et Anaé Blanc Dans celui du père : Philippe Allard La mère : Line Guellati La voisine : Annette Gatta Ismael : Thierry Hellin Avec aussi les voix de Marc Weiss, Patrick Brül, Maarten Van den Bussche et Yasmina Favaro Musique originale : Anna Muchin Écriture, réalisation, montage : Joachim Glaude Prise de son : Pascale Schaer Bruitage : Céline Bernard Mixage : Jonathan Vanneste Assistanat à la réalisation : Némo Camus Accordéon : Joffrey Goart Texte additionnel : Zladko Dizdarevitch Musique additionnelle : Charlotte Adigéry
Février 1992, une guerre est sur le point de déchirer la Bosnie. Anaïs, 7 ans, est mise à l’abri et envoyée en Belgique. Février 2019, après 25 ans d’absence, Anaïs revient à Sarajevo. Dans cette ville, le père d’Anaïs livre ses souvenirs au micro d’une radio clandestine.Février 1992, une guerre est sur le point de déchirer la Bosnie. Anaïs, 7 ans, est mise à l’abri et envoyée en Belgique. Février 2019, après 25 ans d’absence, Anaïs revient à Sarajevo. Dans cette ville, le père d’Anaïs livre ses souvenirs au micro d’une radio clandestine.
Février 1992, une guerre est sur le point de déchirer la Bosnie. Anaïs, 7 ans, est mise à l’abri et envoyée en Belgique. Février 2019, après 25 ans d’absence, Anaïs revient à Sarajevo. Dans cette ville, le père d’Anaïs livre ses souvenirs au micro d’une radio clandestine.
Février 1992, une guerre est sur le point de déchirer la Bosnie. Anaïs, 7 ans, est mise à l’abri et envoyée en Belgique. Février 2019, après 25 ans d’absence, Anaïs revient à Sarajevo. Dans cette ville, le père d’Anaïs livre ses souvenirs au micro d’une radio clandestine.
Février 1992, une guerre est sur le point de déchirer la Bosnie. Anaïs, 7 ans, est mise à l’abri et envoyée en Belgique. Février 2019, après 25 ans d’absence, Anaïs revient à Sarajevo. Dans cette ville, le père d’Anaïs livre ses souvenirs au micro d’une radio clandestine.
Un roadtrip contemporain entre Bruxelles et Sarajevo
Un roadtrip contemporain entre Bruxelles et Sarajevo
13/02/2021 Est-Ouest, été 86 de Richard Kalisz épisodes 12, 13, 14 et 15
L’été 86 est celui de Tchernobyl. Et le mur est aussi celui d’une gigantesque prison. Trois ans plus tard, il s’écroule. Désormais, d’Est en Ouest, le communisme est vraiment mort. Et pour ceux de l’Est, Coca Cola est devenu le symbole de la liberté.
En 15 épisodes, c’est une série exemplaire : en nous la donnant à vivre, elle nous raconte qu’elle est la plus belle manière de ressusciter la mémoire, mais aussi, paradoxalement, de l’assassiner.
Est-Ouest, cadrée par l’Histoire des historiens et des journalistes, va au cœur d’une autre histoire, singulière, intime, toute aussi réelle. Par le documentaire, avec tous les protagonistes qui se revoient trente – cinq ans plus tard. Un documentaire, en une saga passionnée, qui se raconte comme une fiction, car tout document n’est jamais, en fait, que l’invention du réel, attestant pourtant de la vérité d’une époque et des sentiments.
Août 1986, 3 ans avant la chute du mur de Berlin, une rencontre amoureuse, hasardeuse, dans une rue nocturne, à Budapest. Elle va connaître un corps à corps de tous les instants, malgré tous les interdits. Ferenc, un jeune homme venu de Roumanie, y passe «ses vacances» pour tenter de fuir en Occident. À ses risques et périls, Richard l’emmène dans sa voiture jusqu’à Bruxelles, en traversant les frontières illégalement.
Quand ils se retrouvent aujourd’hui, tout a changé : tout est perdu et tout est retrouvé, fissuré, méconnaissable. L’amour peut-il reprendre là où le fil a été cassé ? De Bucarest à Budapest (lieu de rencontre), de Budapest à Vienne (première escale, de Vienne à Bruxelles (lieu de l’amour trahi), de Bruxelles à Stockholm (lieu d’acceptation de l’asile), il y a le passage des frontières de la guerre froide sans passeport. Pourtant, malgré cette épreuve commune, le romantisme vole en éclats sans pouvoir en saisir la raison. Et à La gare du Nord, s’enfuit le train d’une incompréhensible déchirure. Une mémoire en acte, comme la mer démontée, toujours recommencée.
Quand Ferenc est arrivé en Occident, son premier geste fut de s’arrêter devant le distributeur de Coca-Cola, boisson phare du capitalisme américain en l’avalant d’une traite. Voyant mon étonnement, Il dit: «tu ne peux pas comprendre, c’est avaler la liberté ». Cela sonnait comme un crédo : « Coca Cola for ever ».
Est-Ouest, il était une fois, n’est pas un conte pour enfants. C’est maintenant, dans un monde autrefois bloqué, plombé par un mur qui paraissait éternel, immuable, infranchissable. Pourtant, ce mur, non seulement, fut franchi, mais s’est écroulé. Même enfermée dans un recoin sombre, la mémoire ne peut exister qu’au présent. S’il lui faut une clé pour en sortir, le tout est de la trouver. Au risque de se perdre. Et de crier sans fin.
Réalisateur : Richard Kalisz
Montage et mixage : Bernard Delpierre
Chanteur : Moane Sahli Redouan
Accompagnement musical : André Reinitz Protagoniste : Ferenc Parkas
L’été 86 est celui de Tchernobyl. Et le mur est aussi celui d’une gigantesque prison. Trois ans plus tard, il s’écroule. Désormais, d’Est en Ouest, le communisme est vraiment mort. Et pour ceux de l’Est, Coca Cola est devenu le symbole de la liberté.
En 15 épisodes, c’est une série exemplaire : en nous la donnant à vivre, elle nous raconte qu’elle est la plus belle manière de ressusciter la mémoire, mais aussi, paradoxalement, de l’assassiner.
Est-Ouest, cadrée par l’Histoire des historiens et des journalistes, va au cœur d’une autre histoire, singulière, intime, toute aussi réelle. Par le documentaire, avec tous les protagonistes qui se revoient trente – cinq ans plus tard. Un documentaire, en une saga passionnée, qui se raconte comme une fiction, car tout document n’est jamais, en fait, que l’invention du réel, attestant pourtant de la vérité d’une époque et des sentiments.
Août 1986, 3 ans avant la chute du mur de Berlin, une rencontre amoureuse, hasardeuse, dans une rue nocturne, à Budapest. Elle va connaître un corps à corps de tous les instants, malgré tous les interdits. Ferenc, un jeune homme venu de Roumanie, y passe «ses vacances» pour tenter de fuir en Occident. À ses risques et périls, Richard l’emmène dans sa voiture jusqu’à Bruxelles, en traversant les frontières illégalement.
Quand ils se retrouvent aujourd’hui, tout a changé : tout est perdu et tout est retrouvé, fissuré, méconnaissable. L’amour peut-il reprendre là où le fil a été cassé ? De Bucarest à Budapest (lieu de rencontre), de Budapest à Vienne (première escale, de Vienne à Bruxelles (lieu de l’amour trahi), de Bruxelles à Stockholm (lieu d’acceptation de l’asile), il y a le passage des frontières de la guerre froide sans passeport. Pourtant, malgré cette épreuve commune, le romantisme vole en éclats sans pouvoir en saisir la raison. Et à La gare du Nord, s’enfuit le train d’une incompréhensible déchirure. Une mémoire en acte, comme la mer démontée, toujours recommencée.
Quand Ferenc est arrivé en Occident, son premier geste fut de s’arrêter devant le distributeur de Coca-Cola, boisson phare du capitalisme américain en l’avalant d’une traite. Voyant mon étonnement, Il dit: «tu ne peux pas comprendre, c’est avaler la liberté ». Cela sonnait comme un crédo : « Coca Cola for ever ».
Est-Ouest, il était une fois, n’est pas un conte pour enfants. C’est maintenant, dans un monde autrefois bloqué, plombé par un mur qui paraissait éternel, immuable, infranchissable. Pourtant, ce mur, non seulement, fut franchi, mais s’est écroulé. Même enfermée dans un recoin sombre, la mémoire ne peut exister qu’au présent. S’il lui faut une clé pour en sortir, le tout est de la trouver. Au risque de se perdre. Et de crier sans fin.
Réalisateur : Richard Kalisz
Montage et mixage : Bernard Delpierre
Chanteur : Moane Sahli Redouan
Accompagnement musical : André Reinitz Protagoniste : Ferenc Parkas
L’été 86 est celui de Tchernobyl. Et le mur est aussi celui d’une gigantesque prison. Trois ans plus tard, il s’écroule. Désormais, d’Est en Ouest, le communisme est vraiment mort. Et pour ceux de l’Est, Coca Cola est devenu le symbole de la liberté.
En 15 épisodes, c’est une série exemplaire : en nous la donnant à vivre, elle nous raconte qu’elle est la plus belle manière de ressusciter la mémoire, mais aussi, paradoxalement, de l’assassiner.
Est-Ouest, cadrée par l’Histoire des historiens et des journalistes, va au cœur d’une autre histoire, singulière, intime, toute aussi réelle. Par le documentaire, avec tous les protagonistes qui se revoient trente – cinq ans plus tard. Un documentaire, en une saga passionnée, qui se raconte comme une fiction, car tout document n’est jamais, en fait, que l’invention du réel, attestant pourtant de la vérité d’une époque et des sentiments.
Août 1986, 3 ans avant la chute du mur de Berlin, une rencontre amoureuse, hasardeuse, dans une rue nocturne, à Budapest. Elle va connaître un corps à corps de tous les instants, malgré tous les interdits. Ferenc, un jeune homme venu de Roumanie, y passe «ses vacances» pour tenter de fuir en Occident. À ses risques et périls, Richard l’emmène dans sa voiture jusqu’à Bruxelles, en traversant les frontières illégalement.
Quand ils se retrouvent aujourd’hui, tout a changé : tout est perdu et tout est retrouvé, fissuré, méconnaissable. L’amour peut-il reprendre là où le fil a été cassé ? De Bucarest à Budapest (lieu de rencontre), de Budapest à Vienne (première escale, de Vienne à Bruxelles (lieu de l’amour trahi), de Bruxelles à Stockholm (lieu d’acceptation de l’asile), il y a le passage des frontières de la guerre froide sans passeport. Pourtant, malgré cette épreuve commune, le romantisme vole en éclats sans pouvoir en saisir la raison. Et à La gare du Nord, s’enfuit le train d’une incompréhensible déchirure. Une mémoire en acte, comme la mer démontée, toujours recommencée.
Quand Ferenc est arrivé en Occident, son premier geste fut de s’arrêter devant le distributeur de Coca-Cola, boisson phare du capitalisme américain en l’avalant d’une traite. Voyant mon étonnement, Il dit: «tu ne peux pas comprendre, c’est avaler la liberté ». Cela sonnait comme un crédo : « Coca Cola for ever ».
Est-Ouest, il était une fois, n’est pas un conte pour enfants. C’est maintenant, dans un monde autrefois bloqué, plombé par un mur qui paraissait éternel, immuable, infranchissable. Pourtant, ce mur, non seulement, fut franchi, mais s’est écroulé. Même enfermée dans un recoin sombre, la mémoire ne peut exister qu’au présent. S’il lui faut une clé pour en sortir, le tout est de la trouver. Au risque de se perdre. Et de crier sans fin.
Réalisateur : Richard Kalisz
Montage et mixage : Bernard Delpierre
Chanteur : Moane Sahli Redouan
Accompagnement musical : André Reinitz Protagoniste : Ferenc Parkas
L’été 86 est celui de Tchernobyl. Et le mur est aussi celui d’une gigantesque prison. Trois ans plus tard, il s’écroule. Désormais, d’Est en Ouest, le communisme est vraiment mort. Et pour ceux de l’Est, Coca Cola est devenu le symbole de la liberté.
En 15 épisodes, c’est une série exemplaire : en nous la donnant à vivre, elle nous raconte qu’elle est la plus belle manière de ressusciter la mémoire, mais aussi, paradoxalement, de l’assassiner.
Est-Ouest, cadrée par l’Histoire des historiens et des journalistes, va au cœur d’une autre histoire, singulière, intime, toute aussi réelle. Par le documentaire, avec tous les protagonistes qui se revoient trente – cinq ans plus tard. Un documentaire, en une saga passionnée, qui se raconte comme une fiction, car tout document n’est jamais, en fait, que l’invention du réel, attestant pourtant de la vérité d’une époque et des sentiments.
Août 1986, 3 ans avant la chute du mur de Berlin, une rencontre amoureuse, hasardeuse, dans une rue nocturne, à Budapest. Elle va connaître un corps à corps de tous les instants, malgré tous les interdits. Ferenc, un jeune homme venu de Roumanie, y passe «ses vacances» pour tenter de fuir en Occident. À ses risques et périls, Richard l’emmène dans sa voiture jusqu’à Bruxelles, en traversant les frontières illégalement.
Quand ils se retrouvent aujourd’hui, tout a changé : tout est perdu et tout est retrouvé, fissuré, méconnaissable. L’amour peut-il reprendre là où le fil a été cassé ? De Bucarest à Budapest (lieu de rencontre), de Budapest à Vienne (première escale, de Vienne à Bruxelles (lieu de l’amour trahi), de Bruxelles à Stockholm (lieu d’acceptation de l’asile), il y a le passage des frontières de la guerre froide sans passeport. Pourtant, malgré cette épreuve commune, le romantisme vole en éclats sans pouvoir en saisir la raison. Et à La gare du Nord, s’enfuit le train d’une incompréhensible déchirure. Une mémoire en acte, comme la mer démontée, toujours recommencée.
Quand Ferenc est arrivé en Occident, son premier geste fut de s’arrêter devant le distributeur de Coca-Cola, boisson phare du capitalisme américain en l’avalant d’une traite. Voyant mon étonnement, Il dit: «tu ne peux pas comprendre, c’est avaler la liberté ». Cela sonnait comme un crédo : « Coca Cola for ever ».
Est-Ouest, il était une fois, n’est pas un conte pour enfants. C’est maintenant, dans un monde autrefois bloqué, plombé par un mur qui paraissait éternel, immuable, infranchissable. Pourtant, ce mur, non seulement, fut franchi, mais s’est écroulé. Même enfermée dans un recoin sombre, la mémoire ne peut exister qu’au présent. S’il lui faut une clé pour en sortir, le tout est de la trouver. Au risque de se perdre. Et de crier sans fin.
Réalisateur : Richard Kalisz
Montage et mixage : Bernard Delpierre
Chanteur : Moane Sahli Redouan
Accompagnement musical : André Reinitz Protagoniste : Ferenc Parkas